Peut-on vapoter des e-liquides français ?

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Nourriture, vêtements, meubles : de plus en plus d’habitants de l’hexagone privilégient le Made in France et le savoir-faire français. Peut-on avoir ce type d’exigence en matière de vape et plus particulièrement d’e-liquides ?

e-liquides pour vapoteuse made in France : c’est possible ?

Il existe bien entendu des liquides pour cigarettes électroniques qui sont fabriqués en France et pour certains d’entre eux, ils sont même bios. Cela va certainement faire la différence pour de nombreux vapoteurs qui font de plus en plus attention à ce qu’ils consomment. Privilégier le made in France, c’est bien entendu faire le choix d’un certain savoir-faire, mais aussi permettre à l’économie nationale de se développer et réduire l’empreinte carbone par rapport à des produits importés de l’autre bout du monde. Ces produits sont à retrouver en boutiques physiques, mais aussi en ligne, pour obtenir une expérience de vape unique.

Quand on souhaite tenter l’expérience de la vapoteuse, acheter des e-liquides ; tout comme la cigarette électronique et ses composants consommables ; sont autant de nouveautés. Il faut pourtant savoir que le choix de l’e-liquides est particulièrement important ; qu’ils soient faits en France ou non ; notamment si l’on ambitionne d’arrêter de fumer ou si l’on craint une intolérance à certains composants. Certains sont devenus des références, à l’image du Red Astaire de T-Juice. Presque 2 millions de français ont arrêté de fumer grâce à la cigarette électronique et notre pays compte plus de 3 millions de vapoteurs occasionnels ou réguliers. Chacun d’entre eux a sa façon de vapoter, sa cigarette électronique et choisit les e-liquides en fonction de certains critères que nous allons voir ci-après.

Les différents types d’e-liquides

On peut trouver différentes sortes d’e-liquides. Comme nous l’avons vu, certains peuvent être bios et d’autres pas. Ils se déclinent en une foule  de saveurs. On peut donc ainsi faire son choix après en avoir testé plusieurs ou encore alterner les goûts en fonction des moments de la journée ou de ses humeurs. Les e-liquides se composent essentiellement de propylène glycol (PG) et de glycérine végétale (VG). Une intolérance ; quoi que ce soit plutôt rare ; est toujours possible au propylène glycol. On parle d’intolérance si l’on ne supporte pas du tout d’en prendre. Si la gorge est irritée les premiers jours, cela est normal, tout comme le fait que la bouche soit un peu sèche. Ce n’est pas un problème et il n’est pas utile de renoncer à la vape pour autant, car on trouve des produits qui n’en contiennent pas ou très peu. Il est en effet possible de doser le pourcentage de l’un ou de l’autre.

Cela est également vrai pour le taux de nicotine. Selon les e-liquides ils peuvent en contenir beaucoup pour les gros fumeurs. On peut également prendre des boosters de nicotine ; si les taux autorisés en France par flacon ne sont pas suffisants. D’autres en contiennent peu ou même pas du tout. Quand on ne fumait pas avant de se mettre à la vape, il est évident qu’il faut prendre un e-liquide qui est neutre en nicotine pour ne pas devenir dépendant. Si l’on souhaite arrêter de fumer, le choix se portera au fil des semaines ou des mois, vers des produits de moins en moins nicotinés. L’effet de manque que l’on ressent généralement quand on fait un sevrage tabagique passe presque inaperçu ave la cigarette électronique, car même avec des produits qui contiennent moins de nicotine, on continue à vapoter à la même fréquence et que les gestes ressemblent à ceux que l’on adopte quand on fume de vraies cigarettes. Il est donc plus facile d’arrêter de fumer, et ce, relativement rapidement. Il est bon de savoir que certaines mutuelles (mais pas toutes) reconnaissent l’e-cig comme un substitut à la cigarette et à ce titre peuvent proposer un forfait pour sevrage tabagique visant à rembourser une partie des e-liquides, notamment.